mercredi, novembre 22, 2006

Réflexion sur les deux derniers textes
















Le texte que le professeur m'a lu est évidemment le jugement que me servira le juge Répi 14 ans plus tard. C'est d'ailleurs en entendant ce jugement que je me suis rappelé cet épisode de ma vie.

Dans le conte de fées je recherche ardemment le livre écrit par l'Abbé De L'Épée. En fait c'est le conte de fées que j'ai lu étant jeune que je recherche.


Monsieur le juge répète à trois reprise que le jugement qu'il me sert est tiré d'un livre écrit par l'Abbé De L'Épée. C'est complétement faux. En fait cet abbé qui était aussi avocat n'a jamais écrit de tel propos. Quand le juge mentionne cet abbé, le procureur de la couronne rigole. Je pense qu'ils avaient dû fignoler ensemble les grandes lignes de ce jugement pendant l'interruption du procès durant l'heure du midi. C'est tiré d'un vieux livre édité sur la rue de l'Abbé De L'Épée à Paris. L'Abbé De L'Épée est ce personnage qui fonda une institution pour les sourds et muets et ils leurs appris à communiquer ensemble à l'aide d'un language par signe. Un précurseur et bienfaiteur de l'humanité.
Les belles phrases de ce jugement sont extraites des conférences de Notre-Dame, qui se sont déroulées sur cent ans au début du 19e siècle. Les propos de ce jugement proviennent d'un abbé Picard qui expliquait que même si les évangélistes semblent se contredire sur certains faits de la vie de notre seigneur Jésus le Christ, ils disent assurément la vérité.

Cela n'a surtout rien à voir avec la trentaine de contradictions tirées des trois témoignages livrés par les trois compères lors de mon procès.

L'évènement à la bibliothèque m'est encore difficile à expliquer. Je pense qu'on a voulu m'avertir. Je sais être la personne visée par les trois premiers quatrains de la première centurie de Nostradamus et je vais en vivre une plus importante encore vers mes quarante ans soit le 72e quatrain de la dixième centuries. Un texte à venir vers la fin de mon blog.